Objectif Paris 2024 avec Théo Ticout
Nom : Théo Ticout
âge : 21 ans
catégorie : poids coq (-52 kilos)
Formation en cours : Brevet professionnel de la jeunesse, de l'éducation populaire et du sport, pour devenir éducateur sportif.
Clubs : formé au Montauban boxe anglaise, Théo évolue à présent au Boxoum, à Toulouse.
Théo revient régulièrement voir sa famille à Montauban ; nous en avons profité pour lui poser quelques questions lors d'un entraînement dans le club de ses débuts.
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Que voulais-tu faire étant enfant ?
Toute ma famille fait du foot. Je voulais être footballeur moi aussi, pourtant j'ai pris un autre chemin. Avec des amis, on est passé devant la salle, et on s'est dit : « pourquoi ne pas essayer ? »
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A quel moment de ta vie as-tu été le plus heureux ?
Quand j'ai su que j'étais sélectionné en équipe de France, en 2019. A présent, ce qui fait mon bonheur, c'est de ramener des médailles à chaque compétition, mais sans jamais oublier que le sport reste avant tout un loisir.
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Quels sont tes héros dans la vie réelle ?
Mohamed Ali. C'était un grand homme sur et en dehors du ring, un poète. Il est toujours un modèle pour beaucoup de sportifs. A présent certains vont dans des pays en voie de développement pour accroitre leur popularité, Mohamed Ali le faisait de façon désintéressée.
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Quels sont tes films cultes ?
« Intouchables », et « Je suis une légende ».
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Quel est ton boxeur modèle ?
Je m'inspire du style de boxe de Floyd Mayweather. Il a un sacré coup d'oeil. Il peut se permettre de prendre des risques, comme par exemple de boxer avec les mains basses.
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Que possèdes-tu de plus cher ?
Ma mère.
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Plutôt discret ou grande gueule ?
Plutôt discret.
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Que détestes-tu par-dessus tout ?
Je déteste que l'on me mette la pression. J'aime me préparer dans mes conditions. Je n'aime pas subir le stress de quelqu'un d'autre.
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Quel est ton état d'esprit actuel ? Plutôt cool ou stressé ?
Plutôt serein, je suis concentré sur la compétition à venir : les championnats européens pour les moins de 22 ans en Croatie, en mars. Mais il est vrai qu'à l'approche d'une compétition majeure, je peux commencer à stresser. J'ai alors besoin de me mettre dans ma bulle. Sinon je suis cool.