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LGV Toulouse-Bordeaux, Michel Weill dans les instances dirigeantes

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Photo des membres de la table ovale lors de la réunion pour le projet LGV

Michel Weill lors de la réunion pour la LGV
De nombreux élus dont Michel Weill et membres du projets LGV lors de la réunion à la préfecture de Haute-Garonne
Michel Weill lors de la réunion pour la LGV

Réunis  lundi matin, à la préfecture de région,  les représentants de l’État et des collectivités territoriales ont fait un pas décisif dans le cadre du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV), Toulouse-Bordeaux .  Michel Weill, président du Conseil départemental de Tarn-et-Garonne, a notamment été élu vice-président du COPIL, le comité de pilotage.

C’est un projet emblématique qui prend corps.

Une étape décisive a été franchie, ce lundi, à la préfecture de région de Toulouse. Autour du préfet de région Etienne Guyot, les élus ont validé la création du conseil de surveillance du projet GPSO (Grand projet Sud ouest) qui pilotera la future ligne à grande vitesse (LGV) Toulouse-Bordeaux .
C’est Carole Delga , présidente de la région Occitanie, qui présidera ce conseil de surveillance.

Michel Weill, président du Conseil Départemental de Tarn-et-Garonne, a été élu, à l’unanimité , vice-président du Comité de Pilotage (Copil) qui aura la main  sur nombre de décisions. Il représentera le collège des départements d’Occitanie.

A noter que Brigitte Barèges, présidente du Grand Montauban a été élue vice-présidente de la même instance, représentante des communautés de communes.

Dans son discours introductif, le président Weill a noté que  « nous devons désormais collectivement transformer l’essai.

"Dans le Tarn-et-Garonne, nous mesurons combien l’aboutissement du projet GPSO changera nos vies, changera la vie , a ajouté Michel Weill. Nous serons traversés par la LGV et nous devrons mesurer les enjeux et les adaptations nécessaires. L’implantation d’une  gare au sud de Montauban, à Bressols, et le développement de cette zone à proximité de la métropole toulousaine devront être pensés et repensés afin de booster l’activité tout en maintenant des services publics de premier niveau et une qualité de vie qu’on nous envie. Les enjeux sont considérables et ils ne sont pas que financiers. Je formule le voeu que nous saurons, Etat, collectivités locales, SNCF relever cet immense défi. Cette journée ressemble ainsi à la pose d’une première pierre d’une belle oeuvre."

« Seul, nous ne sommes pas grand chose, ensemble nous pouvons être grands », a-t-il conclu.

A noter que si le préfet de région s’engage sur un début des travaux fin 2023, certains évoquent une ouverture de la LGV à l’horizon 2030-2031.

Rappelons qu’une gare sera installée à Bressols, au sud de Montauban.

Le Tarn-et-Garonne, dans le sillage de son président, est plus que jamais au coeur du projet de la décennie.