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Budget primitif : un gros effort sur la voirie départementale

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Un agent du Département en train de passer le tracteur-tondeuse dans les fossés

Cédric Vaissieres, président de la 4ème Commission Mobilités, infrastructures, routes, et conseiller départemental du Canton Aveyron-Lère, vient de présenter la proposition d'investissement sur la voirie départementale pour 2022. Un programme très ambitieux  avec 19,1 millions € d'autorisation de programme.

Il s’articule autour de deux axes :

  • l’achèvement des programmes antérieurs ;
  • la programmation 2022-2023.

Le programme 2022-2023 comporte 76 opérations, le tout pour un montant de 17 230 000 €, dont :

  • 69 opérations seront à réaliser par les entreprises pour un montant de 17 150 000 €.
  • 7 opérations seront réalisées en régie pour un montant de 80 000 €.

L’entretien, curatif et préventif, constitue un point fort de l’activité des services dédiés à la voirie.
Un plan de renouvellement dédié aux matériels roulants et engins spécifiques a été établi sur 3 années pour un flux annuel de 1 900 000 €.

La surveillance du réseau routier et la viabilité hivernale :
Le Département a mis en place une veille active, en dehors des heures normales de service, animée par un cadre d'astreinte et des équipes d'intervention. Cette organisation mobilise 17 personnes en temps normal et 34 en période hivernale.
En 2021, 556 interventions hors heures de service ont été réalisées par nos équipes d'astreinte.

La transition écologique n'est pas oubliée :
Le plan « route de demain » prévoit aussi que toute action prenne en compte la préservation de la biodiversité.
La gestion des dépendances vertes a modifié les pratiques dans ce but.
Le fauchage tardif et l’entretien des talus et des fossés hors périodes de reproduction, la plantation d’arbres concourant à cet objectif.
Dans le domaine des gros travaux, les analyses multicritères de jugement des offres des entreprises font d’ores et déjà l’objet d’évolutions, la pondération du critère environnemental a été multipliée par deux.
Celui-ci intègre, les quantités de gaz à effet de serre GES et de gaz carbonique CO2 générées par les méthodes proposées par les candidats.